Nos affiliations

UNE AFFILIATION AU RÉSEAU DES UNIONS INTERNATIONALES

Le Local 929 est l’un des 100 locaux (sections locales) de l’Association internationale des ouvriers, plâtriers et cimentiers-applicateurs. Chaque section locale possède une juridiction territoriale qui lui permet de représenter les plâtriers, plâtriers-tireurs de joints et cimentiers-applicateurs d’un ou plusieurs états américains ou provinces canadiennes. La juridiction du Local 929 s’étend à tout le territoire de la province de Québec.

Ces sections locales sont réunies en quatre conseils de district, 17 conférences d’État et trois conférences provinciales. Cette structure permet au Local 929 de discuter avec nos confrères & consœurs canadiens et américains des conditions de travail en vigueur un peu partout, de la formation professionnelle, du perfectionnement, des nouvelles techniques de construction, outils ou produits, des différentes législations qui ont une influence sur l’industrie de la construction, etc.

Ce réseau de sections locales favorise aussi l’échange de main-d’œuvre entre les États américains, mais aussi entre les différentes provinces canadiennes.

Une longue tradition syndicale

Notre union internationale prend ses racines aux États-Unis. Il faut retourner jusqu’en 1864 pendant la Guerre civile américaine où une organisation de plâtriers a réussi à unifier différentes associations locales de métiers sous une même organisation syndicale. Notre union internationale était ainsi fondée et a participé très étroitement &agrave l’obtention d’une journée normale de travail de huit heures.

En 1887, notre association amendait sa constitution afin d’inclure les travailleurs canadiens. En 1951, le nom de notre association fut changé en celui que nous connaissons aujourd’hui afin de refléter le fait qu’elle regroupait également les cimentiers-applicateurs.

Une présence canadienne active

Notre association est gérée par un comité exécutif, élu par les représentants des différentes sections locales qui se réunissent aux quatre ans lors d’un congrès. Le confrère Richard Wassill occupe un poste de vice-président et représente les membres des sections locales canadiennes au sein de notre organisation. Elle nous représente également auprès du bureau canadien du Département des métiers de la construction (Building Trades), à Ottawa et intervient sur les dossiers canadiens (ex : assurance emploi, mobilité de la main-d’œuvre, licences [carte de compétence] interprovinciales.

Une affiliation au Conseil provincial [International]

Au Québec, le Local 929 est un fier affilié du Conseil provincial du Québec des métiers de la construction [International].

Cette affiliation nous permet de joindre notre voix aux 45 000 travailleuses et travailleurs qui sont réunis au sein de cette association syndicale qui réunit 28 sections locales représentant l’ensemble des métiers, spécialités ou occupations de l’industrie de la construction au Québec.

Chaque section locale est autonome, indépendante l’une de l’autre. Chacune décide et gère son propre budget, voit à l’élection de ses officiers, embauche ses agents d’affaires, adopte son plan d’action, défend ses juridictions de métiers, etc. Bref, effectue son travail syndical. Cependant, malgré cette liberté d’action, les sections locales affiliées au Conseil provincial [International] se réunissent mensuellement afin de décider des actions communes à prendre pour les dossiers qui touchent l’ensemble des travailleuses et travailleurs de la construction au Québec.

Le Local 929 : une section locale impliquée

Notre section locale n’hésite pas à s’impliquer. Ainsi, le gérant d’affaires du Local 929, Stéphane Bertrand, a été élu pour représenter notre association internationale au sein de l’exécutif du Conseil provincial [International].

Au fil des ans, différentes autres responsabilités lui ont été confiées par cet organisme, notamment lors des négociations entourant le renouvellement des conventions collectives dans l’industrie de la construction au Québec. Ces actions ont permis au Local 929 d’occuper une place de premier plan qui lui permet de mieux défendre les travailleuses et travailleurs qu’ils représentent.